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Togepi

Cochon d'Inde

Mâle

Rosette

Né : juillet 2002

Adopté : août 2002

Aime

- Le foin

- Les carottes en rondelles

- Les endives

- Grimper

- Le plastique

- Le pissenlit

- Jouer à l'explorateur

- Le bruit de la porte de la cuisine

- les serpillères

- Faire pipi dans les fils electriques

- Dormir derrière la télé et derrière l'ordinateur

N'aime pas

- Le bruit du téléphone

- Être grondé

- Les aliments inconnus

- Les gens qui font du bricolage

- Manger les fils électriques

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20 avril 2006

Depuis quelques temps, nous avons trouvé un rythme de croisière avec mon fils Potiron. Vous vous rappelez peut-être que depuis l'été dernier, nous ne pouvons plus nous balader ensemble sans que cela ne dégénère immédiatement en pugilat. J'ai beau être beaucoup plus imposant que mon fils, il est beaucoup plus nerveux et moi, je ne suis pas trop bagarreur.

Mais ce n'est pas pour ça que nous ne nous aimons pas ! Régulièrement, nous discutons. Et nous avons bien compris que pour que l'autre se balade, il fallait rentrer dans sa cage.

Alors voilà. Plutôt que de trainer sur un des tapis qui nous est réservé, nous rentrons tout seul dans la cage. À peine ai-je posé les pattes chez moi que Potiron se met à couiner pour appeler nos maître. Moi, je me mets en position : sur le toit de ma maison, la museau dans l'entrée ouverte, pour bien montrer que si je voulais, je pourrais sortir, mais que je ne veux pas, car c'est le tour de Potiron.

Si on s'est assez baladé, on rentre aussi tout seul lorsqu'on entend « on fait sortir les filles ! » Nous, on resterait bien dehors pour les accueillir.

8 mars 2006

Tous les jours, lorsque c'est mon tour de promenade, je trottine dans la pièce, je mange un peu, je renifle les odeurs puis, soudain, ça me prend, je trottine vers mes maîtres lorsqu'ils sont sur le canapé et je m'arrête à environ un mètre. Je les regarde sans bouger.

Il ne faut généralement pas longtemps avant qu'ils s'aperçoive que je suis là. Alors ils se baissent, ou parfois s'assoient à mon niveau, et j'ai droit à des caresses. J'adore ça ! Parfois même, ils m'attrapent pour un petit câlin, mais pas longtemps car j'ai la bougeotte.

Alors je retourne trottiner en bouipant. Je suis heureux.

D'ailleurs, je retournerai les voir dans dix minutes.

8 mars 2006, petit ajout

Merci à mes lecteurs, en particulier à David qui laisse toujours des petits messages et à France, son petit-fils et Grimlins, son message m'a fait très plaisir.

4 février 2006

C'est avec une grande tristesse que nous vous annonçons la disparition de la sautillante et rousse Zora.

Elle nous a quitté hier.

1 janvier 2006

Bonne année !

J'espère que tout va bien pour vous et que vous êtes prêts pour entamer cette nouvelle année. Vous avez pris vos bonnes résolutions ? Il s'agit maintenant de les tenir. C'est la partie la plus difficile.

Pour Noël, on est partis tous les sept chez les parents de notre maîtresse. C'était sympa. On y mange bien, plein de trucs nouveaux. Alors forcément, on passe notre temps à faire croire que l'on a faim.

Là-bas, on a eu une deuxième cadeau (je vous ai parlé du premier dans le tagboard) : de nouvelles maisons ! Enfin, pas Potiron parceque lui avait déjà eu une maison nouveau format.

Les maisons précédentes avaient un problème : elles laissaient des espaces sur les côtés dans lesquels allaient souvent se loger les bouts de nourriture qu'on n'arrive pas toujours bien à tenir avec nos pattes. Ces espaces étaient aussi de véritables réserves à foin... innaccessibles. Inutiles quoi.

Maintenant, les maisons on des rebords, elles sont un peu plus grandes et plus légères. Super merci !

Les anciennes maisons sont actuellement dans une drôle de position au milieu de la pièce. Cela intrigue beaucoup Potiron :

D'ailleurs, il est arrivé à sauter par l'ouverture du haut ! Il est fort ce Potiron !

Pour ceux qui n'avaient pas lu le tagboard, le premier cadeau que l'on a eu, ce sont des boules métalliques qui se suspendent en haut de la cage. Notre maîtresse nous y met de la salade et nous, on tape du nez dessus pour les faire bouger. Au début, c'est un peu frustrant, le temps de comprendre ce qu'il se passe, puis après, c'est amusant.

Pour finir, je vais vous raconter une aventure vécue par Zora récemment.

Par terre, il y a une serviette sur laquelle on peut aller lorsqu'on a froid au pattes ou lorsqu'on veut manger du foin au distributeur. Cette serviette est pliée en deux et ce jour là, après que les filles aient courru dans tous les sens dessus, une ouverture s'est faite à l'endroit de la pliure.

Zora, intriguée, est allée renifler ce nouveau passage. Je vous rappelle que l'apparition d'un nouveau passage, surtout s'il est étroit, est toujours une source de curiosité pour nous, c'est dans nos gênes.

Après s'être assurée que ce passage ne sentait rien de bizarre, Zora est arrivée à se faufiler dedans. C'était amusant de la voir progresser sous la serviette.

Malheureusement, à l'autre bout, Citrouille était intriguée par cette serviette remuante et, cherchant à comprendre, bloquait l'ouverture. Zora est bloquée ! Elle sautille, se retourne, cherche la sortie... ne la trouve pas. Ruby vient aux nouvelles et elle aussi se demande ce qu'est ce truc qui bouge sous la serviette. Se faisait, elle bloque la première entrée.

Zora s'affolle un peu et fait des bonds ! Mais les autres filles ne se laissent pas démonter. Il leur faut comprendre le mystère de cette serviette vivante.

Heureusement, Ruby bouge enfin pour aller renifler ailleurs et Zora trouve la sortie. Quelle expérience ! À en juger par sa coiffure, elle ne refera pas ça tous les jours !

Ruby renifle la serviette vivante Zora a trouvé la sortie !

27 octobre 2005

Aujourd'hui, c'est l'anniversaire de Citrouille, elle a 1 an.

7 octobre 2005

Le mauvais temps s'installe. Le matin, il fait nuit lors du petit-déjeuner. L'été est fini, et je vais vous raconter mes vacances. Tout à fait, il n'y a pas de raison que les cochons d'Inde n'aient pas de vacances.

Les miennes se sont passées à la campagne, avec toute ma famille de chonchons, chez les parents de ma maîtresse. Le bonheur ! J'aime les endroits où il n'y a qu'à se baisser pour trouver du pissenlit. Ce n'est pas la première fois que je passe un peu de temps là bas, mais c'est toujours aussi agréable. Mes maîtres temporaires sont très gentils et s'occupent énormément de nous.

Il y a un chien dans cette maison, mais il ne fait pas attention à nous. Ouf ! Parce que tout de même, ça fait un peu peur.

La première semaine, il y avait aussi un petit garçon. Il aime bien nous voir et il connait nos noms. Il nous donnait à manger, mais à mon goût, pas assez à la fois. Il faudra lui dire qu'un cochon d'Inde, ça veut des montagnes de foin.

Ces vacances ont fait du bien à tout le monde, surtout à Étoile qui en a profité pour faire confiance aux gens. Elle est beaucoup moins farouche à présent. Et même maintenant que nous sommes revenus chez nous, elle n'hésite pas à sortir de sa maison pour demander à manger. Elle se laisse caresser aussi. Pas tout le temps bien sûr, car il ne faut pas exagérer ! Mais de temps en temps.

Mais tout n'est pas rose dans notre petit monde : mon fils s'est rebellé ! Je me dit qu'il fallait bien que cela arrive un jour. Un après-midi que nous nous balladions ensemble, comme d'habitude, il s'est montré agressif et m'a donné un méchant coup de patte sur le nez. Je peux vous dire que j'étais complètement sonné et avec une belle balafre. Dans la bagarre qui a suivi, j'ai perdu une touffe de poils.

Mes maîtres nous ont séparés pour les balades suivantes, car une fois remis, j'avais un peu envie de prendre ma revanche. En tout cas, je ne laissais plus approcher Potiron comme avant.

Ils ont essayé un peu plus tard de nous mettre l'un face à l'autre pour voir si nos griefs étaient oubliés. Je n'étais pas sur mes gardes et Potiron s'est jeté sur moi ! Alors depuis, nous nous baladons chacun notre tour.

Citrouille et Zora étaient jalouses de l'aménagement intérieur de la cage d'Etoile, Meringue et Ruby. Elles squattaient souvent l'étage. Alors mes maîtres leur ont mis la même chose, mais symétriquement afin qu'un chonchon sur l'étage voit un chonchon sur l'étage d'en face. Ca leur plait. Mais du coup, les cages sont beaucoup plus lourdes et un peu plus compliquées à nettoyer.

Citrouille n'aime pas trop le garde fou de la passerelle. Ca la gêne lorsqu'elle lors la tête en bas. Alors elle le grignotte, ce qui fait beaucoup de bruit.

9 juin 2005

Il y a eu des travaux chez les filles du côté Étoile. Pour agrandir leur espace intérieur sans pour autant avoir une cage plus grande, mes maîtres ont décidé de construire un étage. Ça n'a pas été simple, ni rapide, mais c'est fait !

Ainsi, les filles ont droit à une plateforme à laquelle on grimpe par une passerelle qui prend naissance sur le toit de leur maison. Le tout avec des garde fous, car elles sont folles.

La passerelle a tout de suite été adoptée par Meringue, la grande exploratrice. Rubis a du attendre quelques temps avant d'aller renifler ce qu'il y avait en haut, sous l'oeil attentif de sa soeur. Puis maman Étoile est allée faire un tour le jour d'après, histoire d'être au courant de ce qu'il se passe chez elle.

Ce qu'il y a de bien dans une plateforme, c'est que cela fait une petite cachette en dessous. Rubis et Étoile en profitent, et du coup, elles sont moins souvent enfouies au fond de leur maison.

Avec Potiron, on a trouvé le moyen d'entrer dans la pièce interdite. Rien de bien compliqué en fait. À deux, on a trouvé comment pousser la planche. Faut dire que mon fils est une boule de muscle. Et moi, je profite de ma taille.

Mes maîtres n'étaient pas très content que l'on soit arrivé à passer. Et depuis qu'ils s'en sont apperçus, la planche est beaucoup plus difficile à pousser. Mais on y arrive encore parfois... et on se fait gronder.

Citrouille et Zora s'entendent bien, mais sans plus. Par contre, elles adorent papoter avec leurs voisines et aller les voir lors des sorties. Elles sont très intriguées par ce qui est arrivé dans la cage d'à côté, et peut-être un peu jalouses. Mais Zora a trouvé qu'en grimpant un peu de son côté, elle pouvait atteindre le foin qui reposait sur la plateforme de l'autre cage. Pourquoi se priver ?

Voici Potiron

Ça c'est moi, et on ne touche pas à ce foin, il est encore bon !

Citrouille (qui grimpe), Zora (au premier plan) et Meringue (à gauche) en balade.

3 mai 2005

Mon fils, c'est mon pote !

Au dernier message, j'étais tout seul car je n'avais plus le droit de voir les filles et les bébés têtais encore, donc je ne pouvais pas les voir non plus. Heureusement, peu après, j'ai pu voir mon fils, Potiron, qui est aussi le fils de Citrouille.

Au début, quand on me l'a présenté, il sentait un peu Citrouille. Ça m'a trompé ! Je croyais que c'était une fille. En fait pas du tout. Et lui, comme il n'avait vu que des filles depuis sa naissance, a commencé à me tourner autour en ronronant. J'ai mis les choses au point en lui courant après dans toute la pièce. Et il a mis les choses au point en me donnant un coup de patte sur le nez.

Depuis, on ne peut plus se séparer. Je l'emmène voir les coins sympas de la maison, on dort parfois chez lui, parfois chez moi et on se cherche dès qu'on n'est plus ensemble.

Côté filles, je dois d'abord faire les présentations.

Citrouille a eu, en plus de Potiron, Zora, qui est bientôt presque aussi grande que sa mère. Il faut dire que sa mère n'est pas bien grande, alors que moi, je suis un géant. Zora me ressemble au niveau poils, mais ils sont encore plus tout fou.

Zora est plutôt dégourdie. C'est la première a avoir réussi un grimpage sur le toit de la maison de sa mère, qui allait s'y reposer entre deux têtées. Son frêre, lui, avait le vertige (cela a bien changé maintenant, il a un sacré équilibre).

Les relations avec sa mère ne sont pas au beau fixe. Elles sont plutôt collocataires que mère et fille et préfère dormir chacune de leur côté, même si pendant les repas, elles se rejoignent.

Étoile a eu deux filles, Meringue, toute blanche, et Rubis, rousse et blanche. Meringue est une vorace, du coup, c'est aussi la première à avoir compris que les calins avec ses maîtres, c'était sympa. Étant intéressée par les arrivées de nourriture, elle allait se cacher moins rapidement que sa soeur et sa mère.

Rubis est une grande peureuse, comme sa mère. Mais elle est très agile et très forte. Quand l'un de ses maîtres la prend, il a toujours beaucoup de mal à la garder dans ses mains, elle trouve toujours un moyen pour se faufiler.

Étoile est très stricte avec ses filles. Quand elles étaient petites, elle grondait d'un ton impératif au moindre danger pour les ramener près d'elle. À présent, elle a toujours un comportement de mère autoritaire. Mais elle a aussi besoin d'être seule de temps en temps, et dans ces cas là, elle ejecte ses deux filles de sa maison. Cependant, au moindre danger, elles se repeletonnent toutes trois.

De toute façon, Étoile, c'est la chef. Elle se fait craindre de Citrouille et Zora aussi. Si elle décide que le foin est pour elle, alors personne ne le lui refuse.

Au début, tout le monde rejetait Zora. C'était la martyre du groupe. Puis, au fur et à mesure, peut-être parcequ'elle grandi plus vite, elle a sympathisé avec ses deux soeurs-tantes.

Pas de photo cette fois-ci, mais j'essairai d'en mettre une bientôt.

12 mars 2005

Je suis tout fou, je suis tout fou, je suis tout fou. Ce matin, j'ai même poussé un pfuiiiiiiiit que mes maîtres n'avaient jamais entendus. Je fais très rarement pfuiiiiiiit, c'est un truc de filles. Mais là...

Je cours dans tous les sens et je les cherche, justement, mes filles. Elles ne sont plus là. Enfin si, pas loin, je les sens. Et puis ce matin, j'ai pu faire un bisou à Étoile. Mais pas plus !

Il parait qu'il faut que j'arrête de faire faire des bébés. Mais j'ai quand même pu appercevoir les nouveaux, ceux qui sont arrivés cette nuit.

5 mars 2005

3 mars 2005

La vie à trois, c'est sympa. Et ca occupe.

Le matin, nous sommes tous les trois très impatients de manger. Nous écoutons attentivement, et dès que l'on entend notre maitresse bouger, nous lui offrons un concert, rien que pour elle.

Après le repas, je montre mon museau de manière explicite : je veux me balader ! À peine à terre, j'appelle mes copines pour qu'elles viennent se balader avec moi.

Mes copines ? Oui. L'expert s'est trompé, Citrouille est une femelle. Moi je le savais depuis le début bien sûr, mais il fallait convaincre mes maîtres.

Donc, le matin, je vais leur rendre visite dès que leur cage est ouverte. Parfois, elles se lèvent du mauvais poil et je me recois un coup de tête, mais généralement, elles sont contentes de me voir.

Ensuite, c'est l'expédition indispensable ! En file indienne, moi en tête, direction la chambre. Si mes maîtres ont oublié de bloquer le passage, alors c'est la fête, on peut courir partout sous le lit. On se fait gronder bien entendu, mais c'est pas grave, on s'amuse. Et une fois repérés, on revient tous en courant dans le salon.

Une fois que l'on s'est bien dépensés, c'est repos, dehors ou dans les cages. Étoile adore aller dormir chez moi. Citrouille s'est trouvé un petit coin entre deux meubles, où ma maîtresse a finalement mis une serviette pour protéger le sol, confirmant que l'endroit était cochon d'indisé. Moi, je dors là où il y a de la place, dans la maison de Citrouille ou d'Étoile.

Au début, les deux filles avaient une petite maison en plastique, ca n'était pas bien pratique, et même très petit. Lorsque j'entrais dans l'une d'elle, j'étais obligé de donner des coups de tête pour agrandir l'espace disponible, et la maison se retrouvait au milieu de la cage. Mais maintenant, les deux filles ont eu droit à leur maison en bois fabriquée par mes maîtres. C'est nettement plus spacieux et agréable.

Avoir deux femmes, c'est quand même difficile, car je dois partager mon temps. Parfois, je fais des calins avec l'une d'elles, parfois avec l'autre. Elles sont jalouses l'une de l'autre et elles ont beaucoup de mal à rester au même endroit. Et parfois, c'est moi qui me recoit un coup ! Rien de méchant rassurez vous. La méthode d'Étoile, c'est le coup de tête, parfois en montrant rapidement les dents. La méthode de Citrouille, c'est de faire un petit jet de pipi.

Je m'attends à être papa très bientôt. Citrouille est énorme, elle doit avoir deux bébés. Parfois, elle a un peu de mal à sortir de sa cage toute seule. C'est marrant, parfois, alors qu'elle ne bouge pas, on voit son ventre qui bouge. Forcément, elle étant une pile électrique et moi pas spécialement sage, les bébés risquent d'être très agités.

Étoile aussi est enceinte, mais cela se voit moins. Sauf quand mes maîtres la prennent pour la mettre dans sa cage le soir. Il y a une technique visiblement, parceque l'arrière de corps est tellement lourd qu'elle a tendance à basculer en arrière.

Mes maîtres ont l'air très impatients de voir les bébés. Mais les bébés n'ont pas l'air pressés.

Citrouille dans son petit coin, qui se repose parceque les bébés sont bien lourds.

Moi, pas loin.

Étoile, toujours aussi insaisissable.

14 novembre 2004

Il fait un petit peu froid vous ne trouvez pas ? Heureusement, dans ma maison, ou dans le foin, ca réchauffe. Et puis il y a aussi les serviettes douillettes, bien plus agréable que les journeaux pour protéger le sol.

Aujourd'hui, j'ai fait une connaissance plus rapprochée des deux autres cochons d'inde de la maison. Je connaissais déjà étoile, mais je n'avais fait qu'entendre le petit nouveau. Comme je suis un peu solitaire, mes maître préfèrent que la rencontre se passe avec des précautions. Ils sont dans leur cage, mais sur mon territoire. Je snif, je fais le tour. À l'intérieur, ils grimpent pour me sniffer aussi. Le petit nouveau bouip beaucoup. Mais je le savais déjà, il a régulièrement des crises d'activités pendant lesquelles il sautille de partout en bouipant. Il fait beaucoup de commentaires sur tout ce qu'il se passe. Je l'entends aussi lorsqu'il se balade avec sa maman dans l'autre pièce.

Le petit nouveau s'appelle Citrouille. Au début, mes maîtres ne savaient pas trop si c'était un mâle ou une femelle, alors ils ont cherché un nom qui aille pour les deux. Comme d'habitude, c'est ma maîtresse qui a eu l'idée. Citrouille, pour un cochon d'inde né juste avant Halloween, c'est pas mal non ?

Après deux semaines d'incertitude, mes maîtres sont allés voir le grand monsieur gentil (mais qui manipule un peu trop le cochons d'inde à mon goût). J'ai reconnu son odeur lorsqu'ils sont revenus. C'était pour vérifier que le bébé allait bien, et pour avoir l'avis d'un expert. D'après l'expert, Citrouille est un mâle.

Citrouille n'aime pas être séparé de sa maman. Et Étoile n'aime pas qu'on lui enlève son Citrouille. Même lorsque c'est pour les faire balader, c'est la catastrophe. Ca crie de plus en plus fort, à celui qui sera le plus aigu. Quand ils se retrouvent, ils se jettent l'un sur l'autre pour se faire un câlin. Mais malgré tout cela, c'est un bébé studieux, qui observe tout ce que fait sa maman. Ce qu'elle mange, où elle fait ses besoins,...

Il y a juste une chose qu'il ne comprend pas bien, c'est le moment où il faut aller se cacher. En effet, Étoile est très peureuse et le moindre mouvement un peu brusque l'entraîne tout au fond de sa maison. Citrouille suit puis s'arrête, regarde autour l'air de dire "ben, y'a quoi ?". Puis finalement ressort.

Moi, cela fait bien longtemps que je n'ai plus peur de grand chose. Parfois, si, forcément, quelque chose d'un peu innatendu me fait fuir. L'instinct, on ne peut pas grand chose contre. Mais par exemple, hier, il y avait des invités à la maison, plein d'invités. Ben je n'avais même pas peur. J'ai bien sniffé tout le monde. Et j'aurais même bien voulu sortir, même si j'ai bien compris que tout ce monde, ca fait encore plus de pieds à éviter. J'ai peut-être bien fait de ne pas trop insister.

Pas de photos cette fois-ci. Il faut que je m'occupe de mettre à jour la galerie.

28 octobre 2004

Oh là là là là. J'ai tellement de choses à raconter.

Le bruit a couru sur ce site, oui, c'est vrai, j'ai été rejoins par Étoile, une cochon d'inde toute mignone mais un peu farouche. Tout le monde dit qu'elle ressemble à un écureuil, mais je ne sais pas ce que c'est.

Et comme aujourd'hui, je ne peux pas trop m'étendre, je vais juste mettre deux photos. Car hier, j'ai eu une sacré surprise !

Étoile, la maman.

Et son bébé.

25 août 2004

Ça y est, les vacances sont finies. Si si, même pour un cochon d'inde.

Mais d'abord, un petit retour en arrière. Aux dernière nouvelles que j'ai données, j'avais un petite paralysie du train arrière. Tout s'est arrangé en moins d'une semaine et j'ai pu me remettre à courrir à travers la pièce, à me mettre sur mes pattes arrières pour demander de la nourriture ou à faire des ruades pour bien faire voler le foin.

Plus tard, bien plus tard, mon maître s'est mis à rester à la maison plus longtemps que d'habitude. Ça veut dire que c'est les vacances ! L'année dernière, j'étais allé manger du pissenlit dans un jardin.

Cette année cependant, je m'inquiète, mes maîtres embalent mes affaires mais me mettent dans la petite cage de transport ! Je n'aime pas la petite cage de transport ! Et c'est parti pour le voyage. Il fait chaud, très chaud. Je gratte le sol de cette cage de malheur, je fais des confettis avec le papier qui est part terre. Ma maîtresse ouvre la cage pour me calmer, mais moi je n'ai pas du tout envie d'être calme. Je pousse sur mes pattes arrière pour essayer de sortir. Une fois, j'y arrive, je fonce sur les épaules de ma maîtresse mais ça ne leur plait pas du tout et ils me remettent dans la cage. Je tourne en rond comme un forcené, je n'aime pas ça ! Pas du tout !

Heureusement, on s'arrête. Je reconnais cette maison, j'y vais de temps en temps. La cage est déposée, ouverte, je peux sortir ! Je bondis dehors et... problème. Mes pattes arriêres sont engourdies, mon train arrière tombe sur le sol. Impossible d'avancer. Si, en rampant, j'y arrive. Je pousse sur les pattes avant. Je repère un coin de la pièce qui m'a l'air au frais, je m'y traine. Je m'étale.

J'ai du trop faire le fou dans la cage car je ne sens plus mes pattes arrières. Elles trainent derrière. Je me prends pour une crèpes. Mes maîtres ont l'air très inquiets. Mon maître me remue un peu le train arrière, essaie de me soulever. Il me prend, m'examine. Bah, je suis trop crevé, je me laisse faire même quand il me met sur le dos. Ça à l'air de l'inquiéter car d'habitude, je déteste ça et je me contortionne pour me remettre sur le ventre. Mais là, j'ai trop chaud.

Il me repose, je tente de me traîner à nouveau vers un coin frais. Mon maître m'aide en me soutenant. Ça marche mieux. Mais je titube et m'affale à nouveau.

Ça dure un petit bout de temps et finalement, il me reprend, me met sur une serviette et m'emporte. Une balade à nouveau ? Oh, tant que ça n'est pas dans la petite cage, ça me va. De toute façon, je suis trop crevé pour réagir.

Nous arrivons dans un nouvelle endroit. Ça me rappelle l'endroit avec le grand monsieur de la dernière fois qui disait que je n'étais pas gros. Ça sent pareil. Mais ça n'est pas le même endroit.

Un autre monsieur gentil me regarde. Il me tripotte, il me lève, essaie de me faire prendre appuis sur mes pattes. Trop crevé, j'aurais bien envie de lui faire plaisir mais mes pattes sont très bien où elles sont, pendantes. Il regarde mes yeux, me tripotte, m'enfonce ses ongles dans mes pattes arrières (Aïe, ça fait mal !), me fait un petit massage (ça, ça fait du bien) et dit des trucs à mes maîtres.

Mon maître me bloque. Pour ce que je bouge, je trouve ça bien inutile. Le monsieur arrive avec un truc pointu et l'enfonce dans mon dos. Holà ! Je crois que je peux trouver assez d'énergie pour remuer là, ça ne me plait pas du tout du tout ! Voilà pourquoi mon maître me tient. Bon, ça ne faisait pas si mal finalement. Je me sens toujours tout flasque, mais ça va mieux. D'ailleurs, je tente trois pas. J'y arrive ! Ça sera tout pour le moment, je m'étale à nouveau.

À nouveau un voyage. Ah, ma cage ! La vraie. Je rentre dans ma maison (tiens, je peux marcher un peu ! Ça va mieux alors !) et je m'endors.

Voici un début de vacances mouvementé.

La suite s'est très bien passée. Une fois mes forces retrouvées, j'ai découvert que dans cette maison aussi, il y avait un jardin avec des plantes très bonnes à manger. C'étaient donc de bonnes vacances.

15 juin 2004

Je ne suis pas gros ! Je suis grand. Ah ! C'est ce qu'a dit un monsieur hier, et il avait l'air de savoir de quoi il parlait.

Depuis quelques jours, j'ai mal aux pattes arrières. Ça n'est pas très évident de marcher, mais que ne ferais-je pas pour demander à manger. Mes maîtres m'ont examiné un peu pour voir si ça n'était pas trop grave. Mon maître a augmenté ma dose de vitamine C, ma maîtresse m'a nettoyée ma cage de fond en comple. Puis hier, comme j'avais vraiment du mal à marcher, ils se sont déclarés incompétents.

Oh je n'aime pas ça. Il y a un bout de menthe dans ma cage de transport. Est-ce que je le prends ? Est-ce que je ne le prends pas ? Bon... je le prends, mais cette cage est vraiment petite. Je m'y attendais, la cage se referme et je commence à être balloté. J'en profite pour sentir un peu le dehors. Il fait bon, même s'il y a un peu trop de vent à mon goût.

Enfin, on arrive. Ma maîtresse discute avec une dame puis s'assoit sur une chaise. Il y a une porte bizarre qui fait un bruit très agressif en s'ouvrant. Une sorte de cloche. Je gronde.

Re-ballotage. Ah, ça y est, je peux sortir. Bon, c'est où ici ? J'ai à peine le temps de prendre mes repères que des grandes mains me tripotent de partout. Oh ! Ça va pas non ? Je gigotte, je me tords dans tous les sens. Bizarre, les mains ne lachent pas prise. Je gigotte encore plus, j'opère le triple enroulé de cochon d'inde avec double ruade. On m'examine les pattes, les dents. J'ai droit à un massage mais on dirait que c'est plutôt pour vérifier ma peau. Puis je me retrouve par terre.

Tout le monde me regarde. Je ne bouge pas. Ils veulent quoi là ? Ah. Ma maîtresse m'appelle, on dirait qu'elle veut que je bouge. Mais je rappelle que j'ai mal au pattes ! En plus je ne sais pas où aller, alors pourquoi bouger. On me pousse un peu. Bon, bon, s'il n'y a que ça pour vous faire plaisir. Voilà, j'ai fait un pas. Ça va ? Non ?

Oh ! Un radiateur ! Il y a un radiateur dans le coin de la pièce. Il est peut-être pareil que celui de la maison, je vais aller le sniffer. Derrière moi, les grands reprennent leur discussion. Ah oui, forcément, j'ai bougé, ils sont heureux. Snif snif. Bon, il ne sent rien de spécial ce radiateur.

Et hop, me revoilà sur la table. Le grand monsieur examine à nouveau mes pattes et les montre à mes maîtres. Elles sont belles mes pattes hein ? J'ai décidé de ne plus bouger. Après tout, le grand monsieur me tient correctement et il me caresse de temps en temps. Tiens, d'ailleurs, si je le reniflais un peu. Il pose un truc froid sur moi et à l'air d'écouter ce qu'il se passe dans mon corps. Quelle indiscrétion ! Il m'anène dans une autre pièce, il me pose sur une grande planche puis me reprend. Il donne un chiffre. Donc voilà. Je ne suis pas gros ! Je suis impressionnant, grand pour un cochon d'inde, mais pas gros ! Ah mais ! On aura au moins appris ça aujourd'hui. La vérité éclate enfin ! Et à part mes pattes un peu gonflées, tout va bien.

Puis on est rentré. J'ai l'impression que ce soir, mon eau est très chargée en vitamine C. Ça ne peut pas me faire de mal.

Allez hop, au dodo, la journée a été chargée.

29 avril 2004

Zamorac ! Mon maître est rentré ce soir en m'appelant zamorac (en fait, ça se prononce "zamorats"). Je l'ai très mal pris, parceque je ne savais pas ce que cela voulait dire. En fait, il a dit que c'était "cochon d'inde" en croate. Bon, alors ça va. Tant qu'il ne me prend pas pour un hrček, ça va.

D'ailleurs, il y a eu une petite émission à la télé qui expliquait la différence entre les hamsters et les cochons d'inde. Enfin !

Moi aussi j'ai mes petits secrets. D'ailleurs, mes maîtres se posent des questions. Le radiateur de la cuisine est un endroit extra. De temps en temps, j'y vais et je faufile mon museau derrière. Et là... LÀ ! Eheh. Il faut être cochon d'inde pour comprendre. C'est tellement bien que je chante. Et mes maîtres se demandent toujours pourquoi. Mais il faut être cochon d'inde pour comprendre.

J'y retourne.

1 mars 2004

Cela se passe le soir. Un soir étrange. Ma maîtresse était là pendant la journée mais, peu après que mon maître soit rentré du dehors, elle disparait !

Plus là ! Vous imaginez la panique ! Ça n'a pas l'air d'inquiéter mon maître, qui, comme souvent, tapote avec ses pattes sur la machine qui ronronne au lieu de venir me caresser.

Je cours à la cuisine. Pas là ! Je cours vers la boîte à images qui bougent et qui fait du bruit. Pas là non plus ! Je renifle un peu les cables. Je cours vers... stop ! Que fais-je ? Je suis devant l'entrée interdite. Elle est ouverte. Je reste à contempler les ténèbres par l'ouverture. Je regarde mon maître. Il ne me voit pas, alors j'avance tout doucement. Tout doucement.

Snif snif.

Elle est là. Elle est dans la pièce interdite. Ça n'est pas normal, si elle est dans la pièce, je devrais être dans ma cage, j'aurais du avoir mon eau vitaminée, mon foin. Mais non, je suis là, dans la pièce interdite avec ma maîtresse.

Comme personne ne regarde, il est temps de partir en exploration. J'avance sous la maison de mes maîtres. Il fait noir, je vois mal. Des morceaux de poussières s'accrochent à mon museau, j'éternue. Figé ! Non, personne ne m'a entendu, je continu. J'avance entre des objets non identifiés, des boites de différentes formes. J'éternue encore, j'ai de la poussière partout.

Enfin, j'arrive devant un mur. Je crois que je ne peux pas aller plus loin dans cette direction. Je longe le mur, je fais une crotte pour me repérer, je continue. Au bout d'un moment, je ressors de sous la grande planche. Face à moi, un cable que je renifle avec dédain. Ça, je connais. Par contre, il y a quelque chose d'étrange à côté. Un boule de poil, comme moi, mais au moins cinq fois plus haute que moi ! Même sur mes pattes arrière, je serais toujours plus petit.

Snif snif.

Ça sent pas grand chose. Je m'enhardis, je pousse la boule de poils. Non, ça ne réagit pas, étrange. Repartons sous la planche. Et si je faisais une petite sieste ? J'ai trouvé un petit coin sympa contre le mur, j'entends ma maîtresse qui dort à l'étage au-dessus, et ça me rassure. Dormons.

Soudain, je suis réveillé par un grand flash ! Une lumière se balade sous la planche. Je suis repéré ? Je suis ébouli et je ne vois rien, j'entends que l'on chuchote mon nom, mais je ne reconnais pas la voix. Je me recroqueville sur moi-même. La lumière s'en va. Je vais me cacher derrière une boite.

La lumière revient ! Cette fois, je suis caché. Mais j'entends quelque chose s'introduire sous la planche et se diriger vers moi. Je vois l'extrémité d'un long bout de bois, mais il ne peut pas m'atteindre. Puis, venant de ma gauche, une main ! Une grande main comme celle de mon maître, mais celle là veut m'attraper ! Je cours de l'autre côté de la planche, à travers la poussière, et je tousse.

Je n'ai pas le temps de me reposer, le bout de bois revient à l'attaque. Mais il est facile à éviter, je saute par dessus, il y a la place. Tout bouge maintenant autour de moi, les boites, les objets non identifiés. Je fonce vers un côté plus calme, mais ça me suit.

Puis ça se calme. Il n'y a plus de bruit, plus de lumière. J'en profite pour reprendre mon souffle. Il y a une bête là dehors qui veut m'attraper, mais moi, je veux rester sous la planche ! Ma maîtresse ne m'a pas grondée, c'est donc que j'ai le droit d'y être. Mais je ne savais pas qu'il y avait des monstres ici !

Snif snif.

Tiens, ça sent le foin. Mais je ne suis pas certain, il y a tellement de poussière que je préfère croire à l'hallucination. Pourtant, ça sent aussi un peu la mélisse. J'avance de quelques pas. Oui oui, ça sent la mélisse. Mais stop ! Soudain je comprends, c'est un piège tendu par le monstre. Je ne ferai pas un pas de plus.

Je tends l'oreille. J'entends des bruits au loin.

Snif snif.

Cette fois, c'est de la menthe ! Ah ah ! Mais il me prend pour qui ? J'ai bien compris son petit manège. Essayer de m'attirer hors de ma cachette. Trop facile.

Seulement, c'est de la menthe. Et puis je n'entends plus de bruit. Allons quand même jeter un oeil, il ne peut rien m'arriver. Allez, je fonce, j'aviserai sur place. Je fonce à travers la poussière, je sors de la planche et elle est là. De la menthe qui n'attendait que moi. Je commence à la grignoter lorsque je vois sur ma droite quelque chose qui bouge.

Tiens, mon maître. Il n'a pas l'air très content. Il me regarde manger la menthe. Tout va bien alors. Oh, une autre feuille de menthe. Mais alors que je commence à la grignoter, des mains m'attrapent. Le monstre m'a eu !

Ah non, c'est mon maître. Il me dit des trucs sur un ton de reproche. C'est vrai que je n'ai pas le droit d'aller dans la pièce interdite. Mais c'était ouvert ! Et ma maîtresse ne m'a rien dit !

Me revoilà dans ma cage. Je suis un peu penaud d'avoir fâché mon maître, mais il n'est pas fâché bien longtemps. Il me donne du foin et me change mon eau. Au moins, ici, ça n'est pas plein de poussière.

1 janvier 2004

Bonne année ! Je vous souhaite du bon foin à tous !

Il y a peu, mon maître est rentré un peu tard. Mais il est revenu avec un sac en plastique ! Si vous lisez mon blog régulièrement, vous devez connaître ma passion pour les sacs en plastique. En effet, on peut leur donner des coups de tête pour le faire voler, on peut se planquer dessous mais surtout, ils contiennent parfois des choses très intéressantes.

C'était le cas ce soir là. Du foin, il y avait du foin ! Du foin qui sentait très bon ! À l'attaque ! L'ennui, c'est que je me suis un peu emmêlé dans le sac... et que quelqu'un a pris une photo juste à ce moment là. Pas grave, je reste digne. Depuis, j'ai ouvert ce sac et je vous assure que le foin y est délicieux.

En cadeau de bonne année, j'ai eu de la mélisse. Je suis content, cela faisait longtemps que je n'en avais pas mangé.

12 décembre 2003

Mais c'est vrai ! Ca fait presque un mois qu'il n'y a rien eu ici. Faut dire, je voulais que le blog puisse être mis à jour avec une image avant, et mon maître était flemmard. Et donc voilà... rien.

Ce que je voulais raconter tout d'abord, c'était le jour où plein de monde est venu. C'était terrible. Des tas de gens. Il y en avait partout dans la pièce. Au début, j'ai essayé de faire du charme pour sortir et m'amuser avec eux, mais finalement, et surtout après avoir échappé de peu à une chute de jus d'orange, j'ai préféré me faire tout petit. De toute facon, plein de gens, ca veut dire plein de pattes, et plein de pattes, c'est dur à éviter.

Finalement, et tout à coup, ils sont tous partis ! Sauf deux. J'ai bien cru que j'allais devoir encore attendre. Mais non, j'ai pu sortir. J'étais méfiant au début, c'est pas parcequ'ils étaient moins nombreux qu'ils avaient forcément l'habitude de ne pas marcher sur des pattes de cochons d'inde. Finalement, ils avaient l'air très intéressé par moi. Du coup, j'ai courru un peu partout, j'ai sautillé à droite à gauche. Je crois bien avoir compris que l'une de ces personnes était Voodoo, celle du blog dont le lien est sur cette page.

Je suis même allé jusqu'à risquer une approche d'un pied qui trainait. Je ne suis pas trop resté, ils auraient pu avoir envie de m'attraper.

Et puis finalement, tout le monde est parti. C'était sympa de voir du monde, et comme ma maîtresse était contente, je vous remercie.

13 novembre 2003

Parfois, mes maîtres reviennent avec des sacs un peu particuliers. Ils les posent par terre et commencent à enlever des machins de dans pour les mettre dans la grande boite à salade (celle qui fait du froid). Au début, je n'avais pas bien compris mais maintenant, c'est bon ! Je sais ! Il y a des trucs intéressants dedans.

Alors quand ils les posent à terre, je me jette sur le premier et je renifle. Je ne tombe pas à tout les coups sur le bon du premier coup, mais cela n'est pas grave, dans ce cas, je change de sac, je rentre dedans, je ressors, je teste,...

Et soudain, la salade ! Je grignote je grignote. Ca n'est pas très discret et la salade fini par rejoindre la grande boite à salade, mais pour me consoler, j'ai droit à une feuille.